Pour commencer mon message du jour, voici une petite histoire quétaine qui vous tirera peut-être quelques larmes.
Hier après-midi, Guilaume et moi sommes allés faire notre épicerie (plus tard que prévu : nous avons manqué l'autobus que nous voulions prendre à cause d'une fausse alarme d'incendie [pas un test, là : une fausse alarme]). Voyant un gros paquet de yogourts en spécial, Guillaume décide de l'acheter. Lorsque mon chum passe à la caisse, ses achats ne rentrent pas tous dans son gros sac réutilisable : l'emballeur place donc les yogourts dans un sac de plastique, qu'il dépose en dessous du panier. Or, lorsque Guillaume laisse son panier, il oublie complètement de prendre les yogourts. Cependant, il s'en rend compte seulement une fois arrivé à notre chambre. Enragé, il pense que l'emballeur a oublié de lui donner ses précieux yogourts. Je lui fais alors remarquer que j'ai vu l'emballeur déposer les yogourts sous le panier. Dépité, Guillaume réalise qu'il a oublié son butin. Après avoir pleuré toutes les larmes de son corps (ben non, ce n'est pas vrai : c'est juste pour ajouter un côté humain à toute cette affaire), mon chum finit par faire son deuil.
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En soirée, j'appelle ma mère et je lui raconte l'histoire. Elle s'empresse de me dire que les épiceries gardent les produits oubliés : si Guillaume appelle, il pourra retrouver son bien. Un peu sceptique (pensant probablement que les épiceries de Sherbrooke ne sont pas aussi serviables que celles de RdL), mon chum appelle. Oh, miracle! S'il retourne à l'épicerie avec sa facture, un paquet de yogourts identique lui sera donné. Bref, tout est bien qui finit bien.
Avouez que vous avez eu peur pour l'estomac de notre pauvre héros...
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Bon, trêve de plaisanteries! Hier matin, j'avais mon cours de rédaction. Il va être très utile : nous allons voir les différents contextes, les différents lectorats et ce qui est approprié ou non dans chaque situation. Nous allons également apprendre à structurer nos idées plus clairement afin de bien se faire comprendre. Bref, j'ai bien hâte de voir ça!
Après mon épicerie, j'ai voulu aller au centre sportif. Malheureusement, l'accès à la salle de conditionnement physique n'est pas gratuit avec la carte étudiante : il faut payer 93$ pour les deux sessions. Étant donné que je n'avais pas mon argent, je suis retournée à ma chambre. Le poste d'accueil est fermé pour la fin de semaine, alors je m'abonnerai mardi (étant donné que lundi est un jour férié).
Mon plan pour la journée est fort simple : faire tous mes devoirs! Je n'en ai pas une tonne, mais il faut bien les faire quand même.
02 septembre 2006
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